L'arthroscopie : dans les suites de l'arthroscopie, peut persister un gonflement et une inflammation qui nécessitera une ponction articulaire et une prolongation de l'incapacité.
Chirurgie ligamentaire : elle peut laisser persister un déficit de flexion avec une difficulté à la station accroupie et une gêne à genoux.
Chirurgie de la rotule : elle nécessite une cicatrice sur la face antérieure du genou. Cette chirurgie est parfois suivie de difficultés de récupération de la mobilité.
Ostéotomie : difficultés ou retard pour obtenir la consolidation osseuse.
Chirurgie prothétique : le risque principal est l'infection dont nous avons parlé. Le risque cutané peut être majoré lorsque l'intervention est réalisée sur un genou présentant déjà des incisions multiples. Le risque est alors suivi d'une nécrose de la peau qui pourrait nécessiter une reprise chirurgicale avec une greffe.
Persistance d'une raideur avec limitation des amplitudes articulaires en flexion et en extension.
Persistance d'une douleur sans explication précise et l'on parlera alors d' " intolérance au matériel ". Une allergie au métal (Chrome-cobalt) a été parfois retrouvée.
Risques d'usure des pièces métalliques et du polyéhylène. A terme, nécessité de changer la prothèse.
Déboîtement de la rotule qui peut conduire à une réintervention chirurgicale.
Toutes ces complications, si elles sont importantes, peuvent conduire à l'ablation de la prothèse et au remplacement de celle-ci. La complication la plus grave d'une prothèse peut conduire à l'ablation de la prothèse et au blocage du genou avec le risque, en cas d'infection grave, de conduire à l'amputation.
Chirurgie ligamentaire : elle peut laisser persister un déficit de flexion avec une difficulté à la station accroupie et une gêne à genoux.
Chirurgie de la rotule : elle nécessite une cicatrice sur la face antérieure du genou. Cette chirurgie est parfois suivie de difficultés de récupération de la mobilité.
Ostéotomie : difficultés ou retard pour obtenir la consolidation osseuse.
Chirurgie prothétique : le risque principal est l'infection dont nous avons parlé. Le risque cutané peut être majoré lorsque l'intervention est réalisée sur un genou présentant déjà des incisions multiples. Le risque est alors suivi d'une nécrose de la peau qui pourrait nécessiter une reprise chirurgicale avec une greffe.
Persistance d'une raideur avec limitation des amplitudes articulaires en flexion et en extension.
Persistance d'une douleur sans explication précise et l'on parlera alors d' " intolérance au matériel ". Une allergie au métal (Chrome-cobalt) a été parfois retrouvée.
Risques d'usure des pièces métalliques et du polyéhylène. A terme, nécessité de changer la prothèse.
Déboîtement de la rotule qui peut conduire à une réintervention chirurgicale.
Toutes ces complications, si elles sont importantes, peuvent conduire à l'ablation de la prothèse et au remplacement de celle-ci. La complication la plus grave d'une prothèse peut conduire à l'ablation de la prothèse et au blocage du genou avec le risque, en cas d'infection grave, de conduire à l'amputation.